Textes triste
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Textes triste
Un coeur qui bat, qui bat, qui bat...
Tranquillement, doucement, apaisé
Puis d'un seul coup il s'affole,
Tel la proie, proie à la peur...
Victime du rapace, brandissant ses serres
Cour ! Fui ! Allez !
Mais la pierre abat l'oiseau...
Les plumes s'envole dans le ciel bleu azur...
Puis plus rien, pas un mot, pas un souffle,
Juste cet enfant qui s'approche du petit corps frêle,
Une larme roule sur la joue du petit, honteux...
Et oui, la pierre abat l'oiseau, et le vent emporte une âme...
Tranquillement, doucement, apaisé
Puis d'un seul coup il s'affole,
Tel la proie, proie à la peur...
Victime du rapace, brandissant ses serres
Cour ! Fui ! Allez !
Mais la pierre abat l'oiseau...
Les plumes s'envole dans le ciel bleu azur...
Puis plus rien, pas un mot, pas un souffle,
Juste cet enfant qui s'approche du petit corps frêle,
Une larme roule sur la joue du petit, honteux...
Et oui, la pierre abat l'oiseau, et le vent emporte une âme...
Dernière édition par Vaniloou le Mer 5 Juin - 17:10, édité 1 fois
Re: Textes triste
Tu écris vraiment trop bien =D (évites les fautes)
Yui- Admin
- Messages : 9
Date d'inscription : 24/05/2013
Age : 23
Localisation : Au fond d'un puits noir, tout noir...
Re: Textes triste
Je le vis ce petit renard,
Son regard, tel deux petites lunes éclairant son pelage
Son pelage roux comme le feu dansant dans ma cheminée.
Ses pattes musclées, agiles et rapides
Comme le courant de la rivière.
Tu me regardais droit dans les yeux, les miens dans les tiens,
Petit renard, tu savais que nous n'étions pas pareil,
Que l'homme, cet être cruel,
Aux yeux éclairés comme le feu de forêt dont il est souvent fautif,
Pouvait t'abattre comme une vulgaire parcelle de terre.
Mais toi, petit renard, tu savais aussi que je t'aimais,
Un amour infini puisque je m'étais assise, sans bouger.
Dans l'herbe haute de la clairière.
L'herbe bouge, les êtres sont immobiles.
Tes oreilles tressaillirent, tel le sursaut de mon coeur
Et oui, petit renard, je ne pouvais rien y faire...
Le fusil à la main de l'homme, te déstabilisait, et moi aussi,
Les chiens sont lâchés, et mes larmes aussi.
Son regard, tel deux petites lunes éclairant son pelage
Son pelage roux comme le feu dansant dans ma cheminée.
Ses pattes musclées, agiles et rapides
Comme le courant de la rivière.
Tu me regardais droit dans les yeux, les miens dans les tiens,
Petit renard, tu savais que nous n'étions pas pareil,
Que l'homme, cet être cruel,
Aux yeux éclairés comme le feu de forêt dont il est souvent fautif,
Pouvait t'abattre comme une vulgaire parcelle de terre.
Mais toi, petit renard, tu savais aussi que je t'aimais,
Un amour infini puisque je m'étais assise, sans bouger.
Dans l'herbe haute de la clairière.
L'herbe bouge, les êtres sont immobiles.
Tes oreilles tressaillirent, tel le sursaut de mon coeur
Et oui, petit renard, je ne pouvais rien y faire...
Le fusil à la main de l'homme, te déstabilisait, et moi aussi,
Les chiens sont lâchés, et mes larmes aussi.
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