Amour, amourette, amoureux
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Amour, amourette, amoureux
L'amour se conjugue
Aimer, je le conjugue au passé
Mon coeur aime, au présent, au futur
On aime aussi à d'autres temps bien sûr,
Une fois, deux fois, ce n'est pas assez,
Rêver, rêver aussi d'un amour infini.
Aimer, ce verbe ne se conjugue plus
Moi, je suis, tu es, il est
Ou nous devenons amoureux de ce mot
Un amant aimant aimer comme il faut
Rectifier si le verbe est au passé.
Aimer, je le conjugue au passé
Mon coeur aime, au présent, au futur
On aime aussi à d'autres temps bien sûr,
Une fois, deux fois, ce n'est pas assez,
Rêver, rêver aussi d'un amour infini.
Aimer, ce verbe ne se conjugue plus
Moi, je suis, tu es, il est
Ou nous devenons amoureux de ce mot
Un amant aimant aimer comme il faut
Rectifier si le verbe est au passé.
Re: Amour, amourette, amoureux
Aimer,
Passer les frontières de l’esprit,
Avoir le geste juste,
Sans calcul,
Dans l’innocence de l’immédiat,
Comprendre sans ne rien dire,
Les mots suspendus
Mais qui ne sont pas tus.
Aimer,
C’est le rire intérieur du coeur,
Les cicatrices embrassées,
La différence respectée,
Partager le passé
En sachant l’impuissance.
Mais aimer,
C’est aussi,
Cueillir des mêmes lèvres
L’aurore douce prochaine,
Danser ensemble dans le vent,
Avoir les mêmes mains tendues
Vers l’horizon semblable.
Ce sont deux corps mêlés
Dans l’immobile du temps
Se souvenir de demain,
Marcher sur l’eau
Et décrocher l’étoile,
Tout est possible
À l’homme amoureux.
Passer les frontières de l’esprit,
Avoir le geste juste,
Sans calcul,
Dans l’innocence de l’immédiat,
Comprendre sans ne rien dire,
Les mots suspendus
Mais qui ne sont pas tus.
Aimer,
C’est le rire intérieur du coeur,
Les cicatrices embrassées,
La différence respectée,
Partager le passé
En sachant l’impuissance.
Mais aimer,
C’est aussi,
Cueillir des mêmes lèvres
L’aurore douce prochaine,
Danser ensemble dans le vent,
Avoir les mêmes mains tendues
Vers l’horizon semblable.
Ce sont deux corps mêlés
Dans l’immobile du temps
Se souvenir de demain,
Marcher sur l’eau
Et décrocher l’étoile,
Tout est possible
À l’homme amoureux.
Invité- Invité
Re: Amour, amourette, amoureux
Sur mes pensées
Je me suis assise sur un banc, face à la rue presque vide maintenant. J'ai pensé, laissant la brise légère caresser mon visage. J'ai fermé les yeux, me laissant aller au gré des sons de la ville assoupie et, alors que je m'endormais, j'ai senti ton cœur battre au creux de mes mains.
Je me suis levée, puis j'ai dansé. J'ai dansé pour oublier, j'ai dansé pour t'oublier. J'ai fais, sous le regard des passants pressés, le vide de tous sentiments susceptibles de me faire à nouveau pleurer. Je me suis arrêté, j'ai regardé mes pieds : mes semelles étaient très usées, j'avais beaucoup trop dansé.
Je me suis assise sur un banc, face à la rue presque vide maintenant. J'ai pensé, laissant la brise légère caresser mon visage. J'ai fermé les yeux, me laissant aller au gré des sons de la ville assoupie et, alors que je m'endormais, j'ai senti ton cœur battre au creux de mes mains.
Je me suis levée, puis j'ai dansé. J'ai dansé pour oublier, j'ai dansé pour t'oublier. J'ai fais, sous le regard des passants pressés, le vide de tous sentiments susceptibles de me faire à nouveau pleurer. Je me suis arrêté, j'ai regardé mes pieds : mes semelles étaient très usées, j'avais beaucoup trop dansé.
Re: Amour, amourette, amoureux
L'amour dans la nature
Il s'enfuit le temps qui s'éternise,
Le long de nos frêles corps froids,
La neige bat en retraite et moi,
J'avance timidement pour attraper la bise.
Le soleil dessine de ses rayons,
Ta silhouette que l'ombre souhaite dissimuler.
Le Nord apporte sur tous les monts,
Ton souffle faisant fondre mon cœur enflammé.
Au delà des collines est peint,
Le sourire de tous ceux qui comme moi,
Alors que la dernière feuille élimée tombait, je crois,
On vu naître l'amour au fil des matins.
Il s'enfuit le temps qui s'éternise,
Le long de nos frêles corps froids,
La neige bat en retraite et moi,
J'avance timidement pour attraper la bise.
Le soleil dessine de ses rayons,
Ta silhouette que l'ombre souhaite dissimuler.
Le Nord apporte sur tous les monts,
Ton souffle faisant fondre mon cœur enflammé.
Au delà des collines est peint,
Le sourire de tous ceux qui comme moi,
Alors que la dernière feuille élimée tombait, je crois,
On vu naître l'amour au fil des matins.
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