La mort d'un enfant
Page 1 sur 1
La mort d'un enfant
Une traînée d'étoiles
Cette traînée d'étoiles est tienne,
Puisque le vent à emporté ton âme
Tu disais : Viens avec moi, viens avec moi !
Mais le silence à empli ton être.
Tu regardais les autres, angoissé, pleurant ton handicap
Les enfants de ton âge te regardaient, maladroit.
Pourtant, toi tu résistais, et me disais :
Viens avec moi ! Viens avec moi !
Mais je ne pouvais pas.
Cette traînée d'étoiles est tienne,
Puisque le vent à emporté ton âme
Tu es né comme ça, toi petit garçon que j'aimais
Tes premiers pas, les plus beaux,
N'ont pourtant pas suffit à te faire marcher.
Tu écoutais tes parents, dans la peur de ton avenir
Mais tu résistais, méprisant ton handicap.
Tes beaux yeux, me rappelant l'automne,
Cet automne graver à jamais dans ma tête,
Cet automne, ou le vent t'as emporté.
Cette traînée d'étoiles est tienne,
Puisque maintenant tu n'es plus là.
Tu me disais : Viens avec moi ! Viens avec moi !
Mais je n'est pu t'accompagner jusqu'au bout.
Cette traînée d'étoiles je l'a regarde, ce soir d'automne,
En pensant à toi, Petit homme.
Tu es parti, oui, oui.
Tu es parti, je t'aime, oui.
Tu es parti.
Cette traînée d'étoiles est tienne,
Puisque le vent à emporté ton âme
Tu disais : Viens avec moi, viens avec moi !
Mais le silence à empli ton être.
Tu regardais les autres, angoissé, pleurant ton handicap
Les enfants de ton âge te regardaient, maladroit.
Pourtant, toi tu résistais, et me disais :
Viens avec moi ! Viens avec moi !
Mais je ne pouvais pas.
Cette traînée d'étoiles est tienne,
Puisque le vent à emporté ton âme
Tu es né comme ça, toi petit garçon que j'aimais
Tes premiers pas, les plus beaux,
N'ont pourtant pas suffit à te faire marcher.
Tu écoutais tes parents, dans la peur de ton avenir
Mais tu résistais, méprisant ton handicap.
Tes beaux yeux, me rappelant l'automne,
Cet automne graver à jamais dans ma tête,
Cet automne, ou le vent t'as emporté.
Cette traînée d'étoiles est tienne,
Puisque maintenant tu n'es plus là.
Tu me disais : Viens avec moi ! Viens avec moi !
Mais je n'est pu t'accompagner jusqu'au bout.
Cette traînée d'étoiles je l'a regarde, ce soir d'automne,
En pensant à toi, Petit homme.
Tu es parti, oui, oui.
Tu es parti, je t'aime, oui.
Tu es parti.
Un texte dédié à un petit garçon de ma famille, atteint de myopathie.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|